vendredi 14 avril 2017

La cage de chasteté courte ou longue pour votre mari ?

L'homme se sentira donc plus "confortable" dans une cage au tube court, qui a l'avantage de "brider" l’érection en la ré-freinant dès que les premiers symptômes d'excitation se font sentir. Les hommes arrivent à avoir une érection sous cage de chasteté. Cette érection n’est pas toujours agréable car elle tire sur leurs testicules.


Ces deux modèles de cage de chasteté ont l’énorme avantage d’être pratique pour l’hygiène car ils sont très aérés. 

Donc si vous décidez d’acheter dans une cage de chasteté et souhaitez la lui faire porter longtemps, (recommandé si vous désirez le rendre fou d’amour) faites-en sorte de prendre les mesures de votre homme au plus près de la réalité de son pénis au repos, en veillant à ce que ce repos soit effectivement le plus complet possible. Prenez pour référence l'image de son pénis sortant de l'eau après un bain de mer en Bretagne et vous aurez une bonne idée de la longueur idéale.


Morgane de leaderchastete.com

mardi 11 avril 2017

Plaisir de la Chasteté Masculine une explication scientifique

Plaisir de la Chasteté Masculine une explication scientifique


La neurobiologie nous permet de comprendre de manière scientifique ce besoin ressentie de chasteté masculine. Comment un homme chaste éprouve du plaisir dans la contrainte. D’où vient cette intense dévotion ? Pourquoi un couple ayant adopté la cage de chasteté ne peut plus s’en passer ? Et pourquoi un homme chaste lorsqu’il ne porte pas sa cage se sent nu ?
La chasteté masculine au sein du couple présente de nombreux avantages, ci-dessous l’explication scientifique. La relation entre le cerveau, l’orgasme et la chasteté masculine est bien réelle.  Source uluo.fr

Cet article est rédigé à partir du billet « Male Chastity – Pleasure and Devotion, the Science Behind It»

J’ai eu quelques lectures sur la science concernant le sexe, en m’intéressant plus particulièrement aux études sur l’orgasme. J’ai cherché des réponses à bon nombre de questions au sujet de ma propre réaction à la chasteté par exemple :

  • Comment expliquer que je sois de si bonne humeur pendant mes périodes de chasteté ?
  • Quand j’ai un orgasme, pourquoi est-il si intense, dure longtemps et est tellement différents de ceux d’avant ?
  • Pourquoi je ressens cet intense sentiment de dévotion envers ma femme, cherchant à l’aider et à la servir ?
  • Quel est la raison pour laquelle je perds cette intense dévotion avec l’orgasme ? Et, pourquoi me faut-il plusieurs jours, voir semaine, pour retrouver le même niveau de dévotion qu’avant l’orgasme ?
  • Comment expliquer que ma femme soit bien plus enthousiaste quand nous faisons l’amour qu’avant mon expérience de la chasteté ?
  • Pourquoi ma femme me semble de bien meilleure humeur qu’auparavant, prête à de nouvelles expériences, plus intime et plus espiègle même si ne faisons pas l’amour ?

J’ai gardé ces interrogations en tête, sans vraiment y avoir cherché des réponses jusqu’au jour où j’ai décidé de m’y intéresser sérieusement. J’étais décontenancé par ce mystérieux relâchement post-orgasmique conduisant au repli sur soi après l’amour. Cette fameuse « déprime post éjaculatoire » qui mettait toujours un terme provisoire à ma dévotion envers ma femme. Cela a attisé ma curiosité. Pourquoi cette dévotion ne passe jamais l’obstacle de l’orgasme et ne dure-t-elle pas en permanence ?

La perte de dévotion après l’orgasme

Un jour j’ai découvert un excellent blog, MaleChastityBlog.com, écrit par Sarah Jameson. C’est une mine de bons conseils, de sagesse et de retour d’expérience sur la chasteté masculine ; qu’elle pratique en couple, avec son mari, depuis de nombreuses années. Elle y décrit l’augmentation progressive des durées entre les orgasmes de son mari, John. D’un orgasme mensuel, à ensuite un tous les trois ou quatre mois, puis tous les sept mois ; jusqu’à envisager prolonger jusqu’à un an ou plus… Avec au final, l’éventualité d’une interdiction définitive d’orgasme !

Sarah a également écrit un livre sur la chasteté masculine « Be Careful What You Wish For » Une superbe compilation de ses pensées, expériences et conseils pour savoir si la chasteté masculine est pour vous. Elle donne également de nombreux conseils pour vous aider à l’introduire dans votre couple.

Un point qu’elle aborde est sa réflexion sur son intention de prolonger la durée de la chasteté de son mari. Son raisonnement est logique, mathématique. Elle a observé que son mari perdait toute dévotion et désir après un orgasme, et qu’il lui fallait entre 7 à 10 jours d’abstinence pour les retrouver. Donc, en le libérant une fois par mois, ils perdaient entre 3 à 4 mois par an de dévotion.

Ce constat de « perte de dévotion » après l’orgasme et de l’état euphorique pendant la chasteté coïncidait avec ma propre expérience. Je me suis donc interrogé ; quelle serait la meilleure durée de chasteté pour moi ? Au cours de ma propre expérience, ma plus longue période sans orgasme était de 18 jours ; et, je me souviens de mon empressement à l’idée d’une libération. Je me suis demandé si je devais — et comment le faire — prolonger ces périodes ?

Le rôle des hormones dans la sexualité

J’ai commencé mes recherches en essayant de comprendre les changements d’humeur qui se produisaient après un orgasme. Et, plus particulièrement, après une longue période de chasteté. À force de me documenter, j’ai compris que l’humeur des humains dépendait de la présence, de la concentration ou de l’absence de certaines hormones. Les mécanismes biochimiques sont bien connus. Et, ils fournissent toutes les réponses non seulement sur le changement d’humeur, d’attitude lié à la chasteté ; mais également à bien d’autres questions auxquelles je n’avais pas pensé.

Il existe plusieurs de ces neurotransmetteurs impliqués dans le conditionnement de nos comportements. Mais, les trois dominants qui gèrent la sexualité et l’orgasme sont : la dopamine, la prolactine et l’ocytocine. Le quatrième facteur qui rentre en compte est la concentration de ces trois hormones, en particulier la dopamine.
Expliquons maintenant le rôle de ces trois acteurs hormonaux, ainsi que les effets sur notre corps.

La dopamine

C’est l’hormone qui provoque le sentiment de plaisir lorsqu’on pratique certaines activités. Par exemple, l’excitation sexuelle, la bonne nourriture, le sport, les jeux d’argent ou faire du shopping. La consommation de médicaments peut augmenter le taux de dopamine dans le centre de récompense du cerveau.
Un niveau élevé de dopamine est ressenti par le cerveau comme du plaisir ; et plus ce niveau monte, plus le plaisir est intense. Le plaisir intense de l’orgasme est le résultat d’un flux soudain de dopamine sécrétée dans le « centre de récompense » de notre cerveau.

La PROLACTINE, hormone de la satiété

Pour ainsi dire, c’est une sorte de frein sur le niveau et la durée de l’effet de la dopamine et de l’ocytocine. Son niveau reste stable dans le cerveau excepté après un flot soudain de dopamine et d’ocytocine. Comme, lors d’un orgasme. Le taux élevé demeure dans le cerveau pendant une à deux semaines, inhibant de fait la libido masculine.

L’OCYTOCINE, hormone des câlins

Lorsque son niveau est élevé, elle produit le plaisir du sentiment amoureux et de la connexion entre deux êtres, du rapprochement, dévotion et protection. C’est le premier facteur de la constitution d’un couple. Un flash d’ocytocine est produit pendant l’orgasme et est responsable du sentiment amoureux. En moins d’une heure ce taux est largement en dessous du niveau qu’au début de l’excitation sexuelle. Chez les femmes, ce taux décroît plus lentement en atteignant son niveau normal en quelques heures sans jamais plonger en dessous de ce niveau.

En plus de l’orgasme, l’autre façon de faire monter le taux d’ocytocine est le contact, les caresses. Pas nécessairement de manière sexuelle, rien que le simple fait de se tenir la main va faire monter le taux chez la femme et l’homme. Quand le niveau d’ocytocine est réduit au niveau normal ou en dessous, malgré l’impression de réduction du sentiment d’affection, le souvenir de ce sentiment perdure. C’est ce souvenir qui fournit la base d’une relation à long terme et qui permet de surmonter l’effet de marée montante et descendante du taux de dopamine et de prolactine.

L’accoutumance

Le quatrième facteur qui rentre en compte est le niveau de concentration des récepteurs hormonaux. En particulier ceux de la dopamine. Prenons l’exemple d’un homme qui se masturbe souvent. Lors de l’éjaculation, son cerveau est inondé par une sécrétion importante de dopamine qui procure cette sensation de plaisir et de soulagement. Or, les récepteurs développent une tolérance, une réponse « engourdie » au plaisir. Alors, le même flash de dopamine n’est plus perçu avec la même satisfaction. En conséquence, un accro à la masturbation aura besoin de se masturber plus fréquemment pour ressentir le même plaisir. À contrario, un homme ayant des orgasmes moins fréquents ressentira un plus grand plaisir. En effet, il aura comparativement une plus grande concentration de récepteurs hormonaux.

N’hésitez pas à témoigner à la suite de la lecture de cet article.

Morgane pour Leaderchastete.com


dimanche 26 mars 2017

Les poi ou anti-fuite pour cage de chasteté

Les poi ou anti-fuite pour cage de chasteté sont des accessoires ultra efficaces ! 



Cette solution est radicale et ultra efficace pour les soumis qui se plaignent que leur zizi s’échappe parfois la nuit. (Ou trichent....)
Elle est si efficace qu’elle est parfois très douloureuse. La solution est simple, il suffit de les limer un peu.

Encore un truc donné par un de nos clients que nous remercions.

Morgane

Mes fantaisies secrètes de femme en manque m’ont conduite à la chasteté.



Mes fantaisies secrètes de femme en manque m’ont conduite à la chasteté. 

 

Lors des fantaisies secrètes et taboues qui m'habitaient lorsque le soir, nue dans ma chambre avec mes jouets et les cuisses ouvertes, je me faisais jouir en m'imaginant prise sauvagement par un ou plusieurs hommes avec de belles queues ravageant ma bouche, mon vagin et mon anus. J’ai découvert bien vite que mon corps n'avait d'écoute que pour la jouissance et le plaisir malsain, sauvage.

Plus il me dominait, plus il m'humiliait avec un langage ordurier qu'il employait en me sautant, plus il me soumettait à son désir et à ses perversions au plus j’étais heureuse... Avec lui, mes orgasmes étaient puissants. Aucun des hommes que j’ai rencontrés auparavant n'a pu me donner ce plaisir. Hormis lui, aucun autre homme ne m’a procurée cette même jouissance.

J’ai honte mais ne peux me défaire de ça, de ces dérapages verbaux, de ces douleurs, de ces actes sauvages. Je ne peux jouir qu'en me faisant « violer » et un peu moins en fantasmant qu'on me viole quand je joue seule.

Lorsque mon Maître a quitté la région avec sa femme, dans un premier temps j’ai cru mourir de chagrin, puis j’ai songé à quitter mon travail et à déménager. Il me l’a interdit en me disant que si je faisais ça, il ne me toucherait plus jamais. J’ai donc gardé espoir de le revoir, d’être à nouveau sa catin, sa pute, sa soumise, son esclave, 6000 kilomètres de distance entre nous, 6000 kilomètres de désespoir.

Pour palier à mes manques, je me suis achetée des jouets, des accessoires BDSM pour me faire mal toute seule, pour me faire du selfbonbage m’imaginant que c’était lui. J’ai pris des risques fous en jouant seule. La nuit où j’ai cru que j’étais piégée pour de vrai et que j’allais y passer, pendant les six heures de lutte pour ma survie, je me suis jurée de ne jamais recommencer.

Mes soirées sont redevenues banales. Mes sextoys sont devenus nuls. Même mes doigts n’arrivaient plus à me satisfaire. Et puis un soir, j’ai craqué et j’ai recommencé. La folie des sens fait perdre la raison, je me suis encore faite très peur. Comme aucun homme ne m’attire, j’ai décidé de me sevrer.

Je me suis achetée une ceinture de chasteté sur leaderchastete.com parce qu’ils ont été très patients. Je leur ai posé des tonnes de questions, ils m’ont toujours répondu avec des mots choisis et surtout du respect. Le webmaster semble connaître son sujet et la domination, sa femme soumise a beaucoup de chance. Elle a été aussi très sympathique dans les réponses qu’elle m’a elle aussi données quand je voulais des réponse de femme.

Le jour où elle est arrivée, j’étais excitée comme une puce, je coulais presque alors que le but de cette ceinture était de me sevrer. Après un week-end de réglages comme ils m’avaient conseillée, je me suis sentie enfin enfermée, privée. Mes doigts arrivaient à peine à passer pour me toucher, impossible pour moi d’atteindre le plaisir. Vêtue de vêtement amples et d’un corset au cas où un collègue poserait sa main sur ma hanche, je suis allée travailler avec ma ceinture de chasteté. Elle me gênait un peu et me rendait folle. Si bien que le soir j’ai craqué en l’ouvrant, pour rien ou presque, juste un petit orgasme. L’idée de ressortir tous mes jouets m’a titillée, mes peurs passées m’ont rappelée à l’ordre.

J’ai donc fait comme ils me l’ont conseillée, je me suis envoyée les clés par la poste. Après avoir mis les clés dans la boite à lettre, j’avais peur. Peur que le courrier se perde, peur qu’une urgence médicale me conduise chez le médecin. La nuit a été difficile, mes rêves fous de catin conduisaient inutilement mes mains entre mes jambes. Mes cauchemars me conduisaient chez le médecin. Trois jours, trois nuits d’inquiétude pour rien. Quand mes clés sont revenues, j’ai à nouveau craqué.

A peine ouverte, je me suis masturbée comme une folle sans grand résultat. Frustrée, je me suis attachée en jetant les clés des menottes dans l’appartement. Pieds et mains liées ensemble, en rampant, j’imaginais mon Maître en train de me frapper, puis de défoncer ma bouche avant de me prendre comme un sauvage. Il me fallait confier les clés à quelqu’un ! Oui mais à qui ? A qui expliquer mes folies ?

Je me suis rappelée que sur Leaderchastete.com ils proposent de garder les clés. Ce n’est pas que je ne leur fasse pas confiance, ils sont sérieux, mais les délais postaux m’inquiétaient et restaient mon problème. En regardant leur site, j’ai vu qu’ils vendaient un coffre électronique qui se programme jusqu’à dix jours. Il peut être cassé en cas d’urgence mais ne s’ouvre pas avant la date choisie. Le soir même, j’en ai commandé un.     

Deux jours à attendre, deux jours à lutter contre mes démons. Quand il est arrivé, j’ai du demander une pause pour aller chercher mon colis à la poste. Les filles m’ont demandé ce que c’était, je leur ai répondu que c’était pour une amie qui faisait une surprise à son mari.... Le reste de la journée m’a paru horriblement long tant j’avais hâte de rentrer.

Le soir même, j’ai ouvert le carton à peine arrivée chez moi. J’ai fait un test sur une minute, le coffre est resté fermé une minute. J’ai recommencé sur trois minutes et j’ai enlevé les piles pour voir si j’arriverai à tricher. Le compteur s’est éteint. J’ai eu peur d’avoir détruit le coffre électronique. Quand j’ai remis les piles, il s’est remis à fonctionner. OUF ! Il s’est ouvert comme prévu, j’allais pouvoir faire le grand saut et me sevrer dix jours.

Avant même de préparer à manger, j’ai pris une douche presque froide pour calmer mes envies et j’ai mis ma ceinture de chasteté. Le coffre m’attendait sur la table de la cuisine, il est devenu mon compagnon. Je vous expliquerai plus tard ce que cela veut dire.

J’ai donc déposé les clés de ma ceinture de chasteté à l’intérieur du coffre, puis programmé dix jours en faisant tourner la molette. Au moment d’appuyer sur le bouton, j’avais le doigt qui tremblait. Mon index semblait hésiter. Le courage m’est venu en pensant à mon Maître, puis, une fois après avoir appuyé, j’ai regardé le minuteur décompter les cinq secondes, cinq secondes de réflexion. Le bruit du verrouillage m’a faite sursauter.

Ce bruit du coffre semblait me dire : « Te voilà aux pieds du mur ma belle, tu vas être obligée d’être sage » !

Le soir même, mes mains n’arrêtaient pas de la toucher. Elles se posaient régulièrement sur ma ceinture. Le programme à la télé étant aussi nul que d’habitude, je me suis interdit de surfer pour ne pas être tentée d’aller lire ou voir des choses excitantes. Le site où j’allais souvent fouiner est fessestivites, il y a des tonnes de trucs pour le selfbondage et des histoires érotiques sympas en plus des vidéos. C’est là d’ailleurs que j’ai rencontré mon Maître. Il ne l’est plus dans les faits, mais il l’est toujours dans mon coeur et me manque tant. Passons.....

J’ai donc pris un bouquin soporifique et trouvé le sommeil rapidement. La nuit, cela a recommencé à me travailler..... Mes doigts n’arrêtaient pas de me toucher, enfin de toucher la ceinture de chasteté. C’est infernal au début car elle se rappelle à vous en permanence quand vous bougez et à chaque pipi ou quand vous vous asseyez. Après on s’habitue à vivre avec elle, mais cela prend du temps, beaucoup de temps….

Lors de ma première tentative de chasteté, avec la poste comme Maîtresse, enfin, gardienne de clé, cela n’a duré que trois jours. Là, j’avais la tranquillité avec l’issue de secours consistant à briser le coffre en cas d’urgence, là je n’avais aucune inquiétude, disons, matérielle, mais une sérieuse concernant mes capacités à être sage dix jours. La journée au travail s’est passée sans souci, le soir non plus car je commençais à m’habituer à elle. Le jeudi, ses effets pervers ont commencé à me travailler les neurones. Le vendredi est une journée courte grâce aux RTT, je suis donc rentrée plus tôt à la maison même après avoir fait mes courses. La soirée m’a semblée longue et a commencé à m’affoler car le week-end entier sans travailler, c’est avoir deux jours à penser !

Le samedi matin, réveillée de bonne heure par habitude, faire le grand ménage et la lessive m’a semblée être une bonne idée pour m’occuper. C’est l’après-midi qui a commencé à me poser des problèmes. Aller à la piscine comme d’habitude n’étant pas possible, je me suis faite un cinoch parce qu’il fallait vraiment que je ne reste pas seul avec moi-même. Vers dix-huit heures, la douche prise et le repas ayant juste besoin d’être réchauffé, je suis allée lire ma messagerie. Mauvaise idée !

Il y avait des notifications sur des sujets de forums coquins où j’étais intervenue. En cédant à la tentation d’aller les lire, je me suis remise mentalement dans le BDSM. Une soumise avec qui je discutais, me faisait des confidences en me racontant le gang bang organisé pour elle par son mari. Elsa m’expliquait tout en détail, la salope, qu’on l’avait attachée, qu’on lui avait bandé les yeux, qu’on lui avait….. Et moi, je me voyais à sa place en train de subir une meute de mâles en rut. Si bien qu’au bout d’un moment, je me suis rendue compte que j’agitais mes fesses sur ma chaise de bureau. Quand j’ai ouvert les pièces jointes, les quatre photos qu’elle m’a adressées ont mis le feu aux poudres. Entravée sur un banc à fessée, ses fesses striées et offertes ont obligé mes mains à saisir ma poitrine pour la malaxer. De malaxage en titillement de tétons, je devenais folle. J’ai du tout couper pour aller prendre une douche quasi froide ! Freud est excellent, il m’a aidée à m’endormir.   

Le dimanche matin, je suis allée marcher et respirer le grand air « marin » des quais de Seyne. Petit à petit, j’ai pris conscience de ma solitude. J’avais construit ma vie sur mon Maître, j’avais très peux d’ami(e)s ou bien trop loin. Errant comme une âme en peine, je suis rentrée à la maison vers onze heures en regrattant de ne pas avoir pris du travail à la maison. Mes finances étant limitées, je ne pouvais me permettre de sortir au cinéma tous les jours et chaque fois que j’avais des envies de faire des folies de mon corps.

Comme animée par un coup de foudre du désirs charnel, je n’ai pas pu faire autrement que de me programmer une séance de selfbondage. Je suis retourné sur Fessestivites histoire de voir s’il y avait eu de nouveaux scénarios de proposés. Les pores de ma peau devenaient des capteurs sensoriels, rien que mon souffle générait quelque chose. Pendant que mon glaçon contenant les clés de mes menottes se faisait au congélateur, lire les idées ou confessions des un et des autres a, tel un tsunami emportant tout sur son passage, laminé mes résolutions de sagesse. Mon plan a été très long et a été épuisant mais il m’a apaisée. 

Mes mains étaient attachées à mes pieds, j’étais couchée sur le ventre et j’avais mis une cagoule. Pour limiter mes mouvements de reptile débile, j’avais fait très court. Si bien qu’il m’a fallu, à l’aveugle, plus de deux heures pour parvenir à mes clés laissées volontairement à l’opposé de l’appartement. Si cela m’a apaisée, cela n’a pas tout anémié. J’allais devenir folle en plein pendant les cinq jours qu’il me restait. C’est là, que le coffre contenant les clés de ma ceinture de chasteté a commencé à devenir mon compagnon. Posé sur la table de ma cuisine, il déjeunait avec moi, il me racontait inlassablement les secondes puis les minutes qui se décomptaient.

J’en étais à huit jours quand j’ai commencé à avoir des idées tordues. Pour quelqu’un qui avait besoin de jouir au moins une fois par jour, huit jours de chasteté totale c’est dur, très dur. J’ai recommencé à surfer et j’ai demandé à Elsa si son Maître pourrait me faire un plan, c’est dire ! Elle s’est moquée de moi, gentiment, c’est une amie, et m’a conseillée de rencontrer du monde. Elle me disait qu’il fallait que je continue de vivre ma vie, ma sexualité et que je ne devais pas me contenter comme avenir des souvenirs de mon Maître. Cela m’a faite réfléchir sans plus.

Le dixième jour, le coffre électronique s’est arrêté de me parler. Il s’était ouvert avant que j’arrive. J’ai failli céder à la tentation de remettre dix jours, mes règles n’allant pas tarder à arriver, cela n’était pas possible, ou du moins gênant. J’aurai pu programmer trois ou quatre jours, ….. Ce soir là, après avoir retiré la ceinture de chasteté, je me faisais jouir en m'imaginant prise sauvagement par un ou plusieurs hommes avec de belles queues ravageant ma bouche, mon vagin et mon anus. La jouissance a été fugace, trop rapide, presque décevante.

J’ai regretté d’avoir retiré la ceinture car l’état d’excitation est tellement fort, que la jouissance en soit devient presque fade.

Et c’est là que j’ai pris conscience qu’il fallait que je rencontre quelqu’un et que je redevienne finalement celle que je suis. Une fille qui aime être bousculée, être la chose d’un homme, de son homme. Alors j’ai refais mon annonce, j’ai remis des photos de « nous » enfin de moi, faites par mon Maître qui n’apparaissait jamais pour cause de besoin de discrétion.

Aujourd’hui, ma décision est prise, cela sera un Maître célibataire et je m’interdis de tomber amoureuse d’un mec en couple. S’il est en couple, cela ne m’intéresse pas, cela fait trop mal. Et pour conclure mes engagements envers moi-même, je suis allée dans un club libertin. Une femme seule n’a pas trop de souci à trouver « chaussure à son pied » si vous voyez ce que je veux dire. Ce fut bon, bien bon même, mais pas comme si cela avait été mon Maître qui « m’oblige » et me livre.

Gros bisous

Aline


lundi 20 mars 2017

Amour et cage de chasteté cela séduit les femmes

Amour et cage de chasteté cela séduit les femmes

Cage de chasteté ergonomique fiablle

Bien que les plaisirs de la cage de chasteté soit majoritairement un fantasme masculin, de plus en plus de femmes s’y intéressent. Nous le voyons dans les statistiques de fréquentation des sites et réseaux sociaux. Elles comprennent aujourd’hui qu’il ne s’agit pas uniquement une perversion, mais la recherche d’une forme d’intimité physique et émotionnelle dans le couple.
 
Dans la messagerie de notre boutique, les femmes n’hésitent plus à poser des questions, c’est un signe qui ne trompe pas, car cela n’arrivait que très rarement avant, un peu comme si ce sujet était tabou. Aujourd'hui elles en parlent plus aisément soit pour comprendre, soit pour avoir des réponses plus ou moins techniques comme est-ce que cela se voit, est-ce ça fait mal, et la dernière question que nous avons eue portait sur les portiques de sécurité.
 
Messieurs méfiez-vous, votre épouse risque d'y prendre goût !

Pour information, la cage de chasteté la plus vendue au monde est celle-ci 

Morgane de Leaderchastete.com 

 

Cage de chasteté pourquoi s’être féminisé ?

Cage de chasteté pourquoi s’être féminisé ?

 

Ceci est une réponse faite ce matin sur Fessestivites à un soumis qui était très gêné de me l’avouer même à travers un t’chat privé.
 
La féminité qui habite en chaque homme se manifeste différemment selon ce qu’il vit qu’il soit féminisé ou non. La cage de chasteté décuple les sensations, les besoins et envies de contacts, de caresses, d’attouchements. L’absence d’éjaculation n’est qu’une infime partie des conséquences des sensations.
 
En effet, le fait que la verge soit bloquée dans un tube, la comprime à la moindre émotion. A cela se rajoute que cela tire sur les testicules. Ces deux événements physiques sont une forme d’auto attouchement involontaire.
 
A cela se rajoute encore bien d’autres choses que je vais sommairement développer.
 
1.         Le fait que la cage se rappelle à l’homme quand il s’assoit sur une simple chaise ou dans sa voiture. (Rappel physique)
2.         Le fait que la cage se rappelle à l’homme quand monte des escaliers. (Rappel physique)
3.         Le fait que la cage se rappelle à l’homme quand il porte une charge. (Rappel physique)
4.         Le fait que la cage se rappelle à l’homme quand il se gratte. (Rappel physique)
5.         Le fait que la cage se rappelle à l’homme quand elle le gêne et qu’il la replace comme il faut dans son slip. (Rappel physique)
6.         Le fait que la cage se rappelle à l’homme quand il se douche. (Rappel physique)
 
Ces rappels physiques sont réguliers et donc permanents dans des situations où en temps normal il ne penserait pas à son sexe. Le fait de devoir s’asseoir pour uriner est un énième rappel, s’asseoir comme une femme complète la panoplie des rappels. 
La nuit, il subit sans le vouloir et sans aucun sollicitation les effets des érections nocturne.
 
A tout cela, vient se greffer la frustration, et là, pour la compenser, l’homme sous cage de chasteté se met naturellement à chercher des sensations détournées. Il se caresse les seins par exemple. Au fur et à mesure que le temps passe, ses besoins physiques montent, il commence à avoir envie de jouer soit avec son anus, soit avec la douleur, douleur dans le sens douleur/ plaisir.
 
Les rappels physiques permanents + la frustration + les sensations des plaisirs détournés, (caresse/seins/anus) décuplent la sensibilité de son épiderme. Son mental réagit en en demandant plus. Si l’idée d’une contrainte de féminisation a déjà traversé l’esprit du soumis, il commence par s’acheter ou trouver un vêtement féminin (bas / collants/ robe/ culotte de femme) ET LA son esprit va encore et toujours en demander plus. Pour peu qu’il ait pris du plaisir avec un objet anal, l’homme se projette dans le corps d’une femme pénétrée pour fantasmer et s’amuser un peu, ou, d’un homme subissant une Maîtresse l’obligeant à se féminiser pour l’humilier.
 
STOP je ne dis pas que tous les hommes sous cage de chasteté ont besoin de se féminiser !!!!! 
 
Dans leur recherche de sensations détournées, certains font du selfbondage, d’autres du CBT, d’autres de l’ABDL et jouent avec les couches, d’autres ..... et il n’y a rien de mal à ça. Il n’y a rien de mal à se faire plaisir tout court !
 
Revenons-en au besoin de se féminiser pour aborder la gêne que cela peut occasionner.
 
Ce n’est pas parce que l’on s’est féminisé que l’on est gay ou bi, on n’avait envie de vivre un truc on a eu raison de le faire si on y a pris du plaisir. Tout cela pour dire que nombreux sont ceux qui, sous cage de chasteté, ont eu envie de jouer autour de la féminisation.
 
Il est évident qu'après le plaisir, on peut être gêné et avoir honte de soit. C'est une erreur, là où il y a de la gêne, le plaisir s'envole. Si on a aimé se féminiser, pourquoi avoir honte de s'être fait plaisir ?
Ceci est une réponse faite ce matin sur Fessestivites à un soumis qui était très gêné de me l’avouer même à travers un t’chat privé. Il n’y a pas de gêne à avoir à se faire plaisir et se phénomène a une logique comme développé ci-dessus !
 
Morgane de Leaderchastete.com

 

samedi 3 décembre 2016

Sa cage de chasteté m’a rendue perverse

Sa cage de chasteté m’a rendue perverse

Ceci est mon témoignage sur la cage de chasteté, si il peut soutenir des couples dans leur épanouissement et votre boutique Leaderchasteté n’hésitez pas à le diffuser. Encore merci pour vos conseils sur les cages de chasteté et de votre patience.

Andréa

Lorsque mon mari m’a parlée de jeux de soumission et de cage de chasteté, je me suis demandée s’il allait bien. La discussion fut houleuse, je me suis un peu emportée malgré ses explications sur le fait de vivre nos fantasmes, que l’on peut jouer des rôles pour pimenter notre vie, sur..... Moi ma vie allait bien, je ne voyais pas ce qui allait mal dans notre couple, ni pour lui d’ailleurs car je ne suis pas farouche au lit. Ce jour là, j’avoue avoir été méchante et l’avoir blessé. A sa mine triste, j’ai compris que j’avais été trop loin dans ma médisance. Il est vrai que lorsque je m’emporte, mes propos peuvent être très blessants et sarcastiques. Le reste de la soirée fut tendu ainsi que le week-end. J’avais peur d’avoir cassé quelque chose entre nous. Le lundi, étant en RTT imposé, j’ai pris le temps de me documenter sur la chose via internet. Cela ne m’a pas franchement excitée, mais j’ai compris que pour certains hommes ce sextoy pouvait avoir une grande importance. Oui mais, pourquoi mon mari ? Comme le lundi soir il me semblait toujours affecté par la discussion, je suis revenu sur le sujet. Il a botté en touche en me disant que cela n’avait été qu’un fantasme momentané et qu’il n’aurait pas du m’en parler. Cette tension ressemblait à un regret, de la honte, il baissait les yeux et essayait de détourner la conversation. Je m’en suis voulue car j’aurai au moins pu l’écouter lorsqu’il avait décidé de m’en parler à coeur ouvert.

Cette prise de conscience, et les regrets qui allaient avec de l’avoir blessé, m’ont conduite à acheter une cage de chasteté sur une boutique en ligne. Deux mois plus tard, le jour de son anniversaire, après que les amis soient partis, au moment de nous coucher, je lui ai indiqué qu’il y avait un cadeau sous son oreiller. Sur son visage, j’ai lu la joie mais aussi la honte, cette honte m’a fait beaucoup de peine. Il ne savait pas quoi dire. Il m’a dit merci puis a posé la cage de chasteté sur la table de nuit et s’est couché. Je lui ai dit un truc du style : «  Quand tu m’offres un bijou ou une robe, je le mets ou je l’essaye. Mets-la s’il te plait ». Il était horriblement gêné. Il a fallu que j’attrape la cage et la lui mette dans les mains en lui disant que je voulais voir ce que cela donnait sur lui. Ce soir là, je me suis rattrapée en gentillesse et douceur sous la couette, j’avais trop envie de me faire pardonner. Je l’ai rendu fou, c’était trop rigolo même si embrasser une cage de chasteté ne m’amusait pas. Il bandait comme un fou à en faire péter le plastique. Comme il aime bien le facessitting, j’ai enjambé son visage et trituré ses tétons pendant qu’il me léchait. Sa cage de chasteté bougeait toute seule tant il était excité. Il n’a pas tardé à me demander de la retirer, j’ai refusé malgré mon envie de faire l’amour, il m’a brouté le minou comme jamais et est parvenu à me faire jouir.

Le lendemain, j’ai refusé qu’il l’a retire et suis allée chez le coiffeur. A mon retour il y avait un bouquet de fleurs sur la table qu’il avait mise !!!! Et là, en rigolant je lui ai dit que je la lui remettrai plus souvent. Il était tout rouge alors je me suis amusée à l’exciter. Le soir même, il m’emmenait au cinéma et m’invitait au restaurent. Ce débordement soudain d’attentions et de gentillesses m’a titillée. A notre retour, j’ai encore refusé de lui retirer sa cage de chasteté par jeu. Il fut un monstre de douceur et me fit jouir. Sans vouloir dévoiler mon intimité, je suis assez longue à venir et cela ne marche pas à tous les coups, là cela avait fonctionné deux soirs de suite. Et le dimanche, j’ai cru rêver ! Il était allé acheter des croissants !!!!!!!

Aller acheter des croissants et m’apporter le café au lit, il ne l’avait plus fait depuis dix ans. D’habitude il ne traîne pas au lit, la grasse matinée n’est pas son truc. Là il s’est recouché pour me câliner. Mon homme redevenait amoureux comme aux premiers jours.

Voilà donc comment la cage de chasteté est entrée dans notre vie de couple et y est restée.

Si je dis que la cage de chasteté m’a rendue perverse, c’est parce que je me suis engouffrée dans cette voie par intérêt je l’avoue. Qu’il soit aussi attentif, disponible, gentil et amoureux au point de m’adresser des « je t’aime » par texto ne m’incitait pas à la ranger au placard de nos sextoys. J’ai constaté qu’au plus je le « martyrisais » et au plus j’étais perverse, au plus il m’aimait et me choyait.

Un soir, l’idée de le rendre complètement fou de désir m’est venue. J’ai ressorti le vibro que nous avions acheté à nos débuts, par chance, nous avions des piles qui y allaient. Je l’ai fait s’asseoir sur une chaise aux pieds du lit, me suis vêtue de la chemise de nuit en soie qu’il m’a offerte et me suis étendue sur le dos face à lui avec interdiction de bouger. Quand j’ai sorti le vibro, il était comme fou. J’ai fait ce que vous avez compris sans aucune gêne, au contraire, utiliser ce sextoy sous ses yeux m’excitait à en avoir des fourmis de partout. J’ai pris un pieds d’enfer alors que l’exhibions n’est pas mon trip. J’étais déchaînée, il me fallait encore jouer, des sensations, le martyriser encore. J’ai recommencé à quatre pattes sur le lit, les fesses tendues vers lui pendant que le vibro entrait et sortait de moi. Entre mes jambes je le voyais se mordre les lèvres. Alors j’ai retiré le vibro pour loger les clés de sa cage de chasteté dans mon chaton. Quand je lui ai dit qu’il pouvait venir les chercher sans les mains, il n’a pas tardé croyez-moi sur parole. Deux minutes plus tard, il me prenait en levrette comme un fou en me traitant de « salope ». Il a joui très vite, trop vite, je lui ai ordonné de continuer, il a réussi sans problème à faire un deuxième tour, chose rare, et à me rendre « chienne ». Et là, l’idée d’un deal m’est venue. « Si tu me lèches, je te fais une pipe ». Il m’a léchée, nous avons fini en 69 comme des fous.

Des nuits aussi intenses nous n’en n’avions jamais eues. Nous retrouvions nos vingt ans. Depuis cette période, il porte sa cage de chasteté en permanence. Nous faisons l’amour quand je veux et c’est toujours aussi intense. Je prends toujours autant de plaisir à le martyriser, je lui ai même mis notre vibro dans les fesses un soir avant de le chevaucher, il n’a pas refusé alors que pour lui, c’était un endroit tabou.

Cage de chasteté CB600 M
Cage de chasteté CB600 M 

Pour Noël, je lui offre une cage de chasteté CB600 M en métal comme vous m’avez conseillée. Elle sera mieux pour l’hygiène et effectivement plus solide que celle que nous avons car un des anneaux en plastique s’est brisé. Elle est arrivée cette semaine mais il ne le sait pas puisque c’est une surprise. Elle me plait beaucoup et l’anneau est effectivement de la même taille que celui qui s’est cassé, j’ai vérifié. Si vous m’aviez mentie, je ne vous aurai pas fait de la publicité ni offert ce témoignage. Je sens qu’il va souffrir encore plus....

Encore merci pour vos conseils sur les cages de chasteté et de votre patience puis pour le coup de la poste restante que je ne connaissais pas.
  
Andréa