jeudi 1 juin 2023

Une femme découvre la soumission au gîte fétichiste



Cela faisait un moment que Paul me parlait de BDSM et, personnellement, cela me faisait peur. Certes, j’avais bien quelques fantasmes coquins mais de là à les vivre... Ce coquin m’a bien eue en me promettant que nous ne ferions que l’amour dans la chambre LOVE !


A notre arrivée, j’étais un peu tendue. Cela n’a pas duré car l’accueil est aussi simple que chaleureux. C’est vraiment l’esprit « vacances » à la campagne qui est mis en avant. Après nous avoir aidé à décharger nos affaires et expliqué rapidement le fonctionnement du gîte, Marc nous a fait visiter sommairement le parc, l’immense verger en nous disant que nous pouvions aller cueillir des fruits, si nous en avions envie ou nous y amuser. Sous-entendu perçut par Paul comme vous le constaterez plus tard.

Jusque là, c’était l’esprit « vacances » à la campagne mais cela n’a pas duré. Après nous avoir fait voir la piscine en nous précisant que nous pouvions y faire du naturisme, il a ouvert une porte donnant sur ce qu’il a appelé : les lieux de perditions. OUF ! C’était la première fois que j’entrais dans un donjon et si cela est excitant à voir sur internet, en réel, c’est troublant.

Marc nous a fait voir pour la climatisation, les jeux de lumières, la télécommande du treuil puis les accessoires et mobilier à notre disposition. A chaque fois, il donnait très sommairement des exemples d’utilité... Les yeux de Paul brillaient d’envie ! Lorsque Marc nous a précisé que nous pouvions aussi sortir du matériel pour jouer ou faire l’amour à la piscine, dans le parc ou le verger, je me suis décomposée en imaginant que mon mari allait avoir ces envies.

Accompagnés à l’accueil, un ancien moulin restauré, pour y faire les papiers, j’étais encore troublée par ce que j’avais vu dans le « lieu de perdition ». Autant dire qu’une fois seuls, Paul n’a pas tardé à vouloir y retourner. Il m’a attrapée et jetée sur le lit de la chambre LOVE pour me dévorer de bisous.

Un bisou en appelant un autre, dans ces lieux grisants, le plaisir charnel semble décuplé.

Comme par hasard, le lit de la chambre love est équipé de menottes permettant d’attacher une personne. Paul a retiré ma culotte et m’a donc entravée les bras et jambes en croix pour continuer de me dévorer de bisous et caresses. Il m’a soudain abandonnée pour aller chercher un gros vibro dans les X sextoys du donjon. Branché à la rallonge fixée à la tête du lit, j’ai du « subir » ses attaques sensuelles sans même pouvoir le caresser à mon tour ni même, l’étreindre.

« Obligée » de subir un tsunami de caresses, de bisous avec en plus, un truc qui vibre contre votre bouton magique, cela donne des envies de plus. J’ai fini par lui dire de me prendre tant j’étais excitée. Il n’a pas tardé et, pour la première fois, je me suis vue dans le miroir situé au dessus du lit. J’ai découvert les fesses de mon mari en pleine action mais aussi que mon visage peut être très expressif...

Paul avait commandé le repas livré dans le réfrigérateur du gîte. Si bien qu’après la douche, j’ai mis la table et réchauffé le repas au micro-onde. Mon mari n’avait pas l’air d’avoir faim et n’avait pas encore pris sa douche. Il lisait et sa lecture semblait passionnante au point de m’oublier ! ! ! J’ai compris la raison de cette soudaine passion pour la lecture, quand il est allé prendre sa douche.

Sur la table du gîte se trouvent deux classeurs. Un avec toutes les infos pratiques et touristiques pour les touristes, l’autre appelé « le classeur des vraies bonnes mauvaises idées ». C’est en quelque sorte le tutorial pervers des installations coquines. Mon mari avait trouvé un mode d’emploi pour libérer ses envies sadiques ! ! ! Bon, j’avoue que certaines des idées du classeur sont troublantes...

La route nous ayant fatigué, nous n’avons pas traîné à essayer le lit king size. Un bisou et trente secondes plus tard, Paul dormait me laissant seule avec mon temps d’insomnie. J’avais envie de retourner lire le classeur maudit, juste.... pour tuer le temps en attendant que Morphée s’occupe de mon cas. Lire a mis le feu aux poudres de ma libido. Mes doigts coquins ne sont pas parvenus à « m’achever », une douce somnolence a fini par envahir. Au lieu de profiter du lit king size, je me suis lamentablement endormie sur le canapé avec la lumière allumée.

Le lendemain, Marc nous a conseillé d’aller visiter le Monastère de Pierre en nous indiquant que ce serait une bonne stratégie, à cause du vent très fort ce jour là. Après 40 minutes d’autoroute gratuite, cela change, nous sommes arrivés à destination. Ouah ! Ce lieu est lui aussi magique ! Après la visite de l’abbaye grandiose, nous avons visité le parc et ses cascades. Ce lieu est géant, frais et abrité du vent. C’est un peu fatiguant pour les petites jambes habituées aux ascenseurs. Marc nous avait prévenu des horaires espagnols, nous n’étions donc pas inquiets en arrivant au restaurant en début d’après-midi. Pour 15 euros nous avons pu apprécier un bon repas servi rapidement. A priori, ils n’aiment pas faire attendre les clients ou sont mieux organisés pour le service, cela change.

Pour revenir au gîte, nous avons essayé un autre itinéraire fort sympathique, passant de zones ultra boisées à des zones quasi désertiques. Les contrastes sont surprenants. En arrivant, Paul m’a proposée de prendre un bain à la piscine puis de se reposer. Reposer, mon oeil... J’ai rapidement été attaquée par un requin coquin et affamé. Il a osé, essayé de me manger mais j’ai refusé par peur que Marc nous voit. En guise de câlins aquatiques, je me suis laissée bloquer dans le pilori du donjon.

Rapidement dévêtue, et pour cause je n’avais qu’un bas de maillot, je me suis faite traiter de sorcière par le grand inquisiteur bien décidé à essayer quelques instruments. Après avoir désinfecté et recouvert d’un préservatif le petit plug de chienne, il me l’a logé dans les fesses en me disant que la petite queue m’allait très bien. Le mufle !

Ce n’était pas la première fois qu’il me mettait un petit truc dans les fesses, mais me faire prendre debout, entravée avec un truc dans l’anus m’a faite décoller très vite. Chacun de ses mouvements était comme décuplé derrière. C’est là que j’ai commencé à trouver que le BDSM, ce n’est pas si inintéressant que ça dans la réalité. En effet, cela faisait deux fois qu’il me faisait l’amour en deux jours, et deux fois que... que c’était bien bon !

Le repas du soir fut pris dans la salle de restauration du gîte avec les propriétaires. Supers zens, ils nous ont parlé de leurs mésaventures, des surprises en arrivant au moulin. Il nous ont indiqué ne pas regretter un seul instant d’avoir quitter la France. Nous avons compris rapidement pourquoi pendant notre semaine de vacances. Ici la vie est moins chère, les gens sont zens. Le repas, servi sur assiette ressemblait à celui d’un trois étoiles ! Pour treize euros tout compris, c’était franchement bon et copieux.

Le lendemain, nous avons continué de « touristiser » en allant au marché de Saragossse sur les conseils de Marc et son épouse. Constat cruel : quand les prix sont de folie et ultra bas, on dépense plus ! Bon en même temps, j’ai deux ans d’avance pour les fringues. RIRE ! 

Arrivés au gîte, après un énième resto cette fois à 12 euros par tête, puis une première exploration de Saragosse, la piscine nous tendait les bras. Et mes fesses devaient les tendre aussi à mon mari désireux de jouer les requins toujours affamés. Devant mon refus, la pudeur... il m’a dit que cela mériterait une fessée.

« Hummmm, voilà une bonne idée, mais sur le banc à fessée » fut ma réponse. Paul fut surpris car je n’avais jamais osé lui parler de ce fantasme. Conduite au donjon puisque nous avions la clé, je fus donc entravée sur le banc à fessée puis, punie pour provocation.

Aie, aie, aie au début, mais, au bout d’un moment, j’étais comme dans une bulle. Quand Paul s’est arrêté en voyant mes fesses rougir « sérieusement » d’après lui. L’inconsciente lui a dit « c’est tout » ?

Que n’avais-je pas dit là ! Il a attrapé le paddle Fessestivites et j’ai dégusté au départ avant d’entrer à nouveau dans la bulle d’une « masochiste des fesses qui se découvre ».

Le repas du requin étant servi et entravé sur un banc à fessée, les deux côté de mon tube digestif ont été utilisé même si, derrière, je n’aime pas trop. Là, ce fut différent, peut-être que le fait d’être entravée décuple mes plaisirs.

La suite des vacances c’est déroulée sur le même principe et c’est, finalement, épuisant ! Tourisme, marche, piscine et sexe avouons-le, c’est génial mais fatiguant.

Pour le sexe en extérieur, Paul avait conspiré avec Marc lui ayant prêté des menottes. Sous prétexte d’aller manger des fruits mûrs sur l’arbre, mon mari m’a faite marcher jusqu’au fond du verger. Et là, il m’a menottée par surprise à un arbre, m’a déculottée, fessée et ....

Finalement, faire ça au grand air ce n’est pas si mal ! Bon d’accord, j’ai perdu une culotte puisque nous l’avons oubliée au fond du verger !

Ce qui est un peu fou en ces lieux, c’est qu’en plus des vacances touristiques, on a envie de céder à la tentation et que l’on découvre des choses pas désagréables du tout. 

Fin
 
Cette histoire est fictive.Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est purement fortuite hormis pour Marc qui existe réellement tout comme le gîte fétichistes dont le site est ICI


Visitez les zones fétichistes du gîte sur Youtube ICI

Nuit infernale en selfbondage au gîte fétichistes

Chambre LOVE du gîte Fétichistes


 Lors de mes surfs sur internet, j’ai trouvé cet article, publicitaire certes, mais donnant de bonnes idées et surtout, envie d’essayer en étant sécurisé.


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Le lit de la chambre LOVE du gîte fétichiste est équipé de nombreux anneaux, bracelets, chaînettes et de sangles placée sur les côtés de façon à faire un bondage obligeant la personne à conserver les cuisses écartées.

Une fois entravée, il est impossible de serrer les cuisses et donc, de résister aux envies lubriques du Maître ou de la Maîtresse.

En selfbondage, cette installation offre de multiples possibilités.

- Une fois entravé avec ou sans plug, pinces à sein, cagoule, autres.... cela permet par exemple, de subir les effets d’un vibromasseur posé ou bloqué en bonne place.

- Pour les ABDL, si le ICE-timer est gros, cela peut durer une nuit entière.

Comment jouer seul, le mode d’emploi :

1°) Allongez-vous sur le lit et faites vos réglages en commençant par les chevilles puis les sangles latérales pour vos cuisses. Ensuite entravez un de vos poignets. Vous constaterez sûrement qu’il faut affiner les réglages puis qu’ils ne peuvent être les mêmes pour une personne mesurant 1m60 et une personne mesurant 1m90.

2°) Une fois le réglage terminé, allez chercher le ICE-timer avec le jeu de clés dans le congélateur situé dans votre gîte et revenez à la chambre LOVE. Attention, si il est gros, cela peut durer jusqu’à 6 ou 8 heures voir plus.

DEUX CHOIX possibles pour le point 3 de courte durée et longue durée

3°) Courte durée :

La couche n’est pas du tout obligatoire. Pensez à mettre une serviette sous vos fesses malgré tout pour les fluides naturels.

3°) Longue durée :

Après vous être équipé avec une couche au minium par prudence si vous tentez la nuit, (ou par envie de mettre une diap + CP) nous vous conseillons d’enfiler une grenouillère (prêtée) pour ne pas avoir froid. Même si vous n’êtes pas ABDL, la couche vous évitera peut-être de pisser au lit et de le pourrir !

4°) Déposez le ICE-timer à côté du lit puis posez les menottes près de la chaîne ET SURTOUT, reliez la ficelle des clés aux menottes afin de pouvoir les récupérer et vous libérer dans X heures.

5°) Allongez-vous sur le lit, entravez vos chevilles, écartez vos cuisses et verrouillez avec les sangles. Attachez un de vos poignets dans un des bracelets de bondage, passez une des menottes à votre poignet libre avant de fermez la deuxième dans la chaîne.

Vous voilà donc entravé jambes + cuisses + bras écartés pour une durée définie par la taille du ICE-timer.

ASSISTANCE DU GITE FETICHISTES

- Si vous n’êtes pas sûr(e) de vous et de ce selfbondage, Marc peut venir vous aider à faire les réglages et vous donner quelques idées perverses. En ce cas, vous pouvez être vêtu de façon classique ou en maillot de bain. Une fois qu’il sera parti, vous ferez ce que vous avez envie.

- Si le lendemain midi Marc n’a aucune nouvelle de vous, il viendra vous délivrer.

- Tout le matériel est fourni gratuitement (sauf la couche)

ATTENTION ET SECURITE

Une fois entravé, vous n’aurez aucun échappatoire tant que la glace n’aura pas fondu.

Pas de bâillon fermé quand une personne est seule. Si vous voulez essayer de dormir ou faire dormir quelqu’un avec un bâillon, prendre un bâillon bouche ouverte sur l’étagère du donjon.

Ce service et ce jeu sont proposés GRATUITEMENT aux clients du gîte fétichiste

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J’avais lu cette idée de selfbondage et comme le matériel segufix est horriblement cher, j’ai voulu tester l’idée proposée par le gîte fétichistes lors de mes vacances.

Comme Marc est très complice avec ses clients, je lui ai demandé de venir m’aider à faire les réglages en lui précisant que je voulais réaliser un fantasme et essayer une nuit entière. Sa réponse a été avec un grand sourire coquin « avec plaisir ».

Nous sommes allés dans la pièce des secrets où il m’a immédiatement donné le jeu des clés avec la cordelette reliant X clés de cadenas dont celle d’une paire de menottes acier. Après quoi, il m’a prêté une culotte en plastique et une grenouillère pour que je n’ai pas froid.

Ensuite, il m’a conseillé d’acheter un lot de 3 couches ou d’aller en acheter un paquet à la pharmacie afin d’éviter une catastrophe dans le lit de la chambre LOVE. N’étant pas ABDL, j’ai donc accédé à sa demande car je n’en n’avais pas.

Arrivés au donjon, il m’a indiqué qu’il déposerait les couches au coin bar avant de me proposer de m’allonger sur le lit de la chambre LOVE. Invité à me mettre bras et jambes écartées, je l’ai donc laissé entraver mes chevilles, mes jambes et un seul de mes poignets. Effectivement, il y avait quelques réglages à faire. Je n’étais pas trop gêné car je portais un Jean et un tee-shirt.

ET LA, moment plus gênant, il m’a demandé comme si je préférais un verre de rosé ou un verre de rouge, ce que j’avais prévu ou envie d’essayer comme accessoires en plus !

- Vous allez ajouter quoi pour votre plaisir ? Un plug ? Un vibro entre culotte plastique et la couche ? La cage de chasteté ? La cagoule d’isolation pour planer encore plus ?

HEU... que répondre à ça sans se dévoiler ? Je devais être rouge comme une tomate trop mûre oubliée dans le champ au mois d’août en pleine canicule. Toujours aussi zen, il attendait ma réponse pour continuer de me conseiller.

Je lui ai répondu que j’hésitais pour le plug mais que la cagoule et l’idée du vibromasseur entre la culotte plastique et la couche me plaisait bien.

ET LA, ce pervers m’a proposé d’ajouter un minuteur permettant de varier les plaisirs en mode ON / Off sur le vibro. N’osant pas parler par timidité, j’ai simplement fait « oui » de la tête. « Je vais chercher le nécessaire fut sa réponse » en me laissant seul avec ma gêne comme compagne d’infortune....

Deux minutes plus tard, il branchait le minuteur à la rallonge électrique du lit de la chambre LOVE puis le vibromasseur Magic wand massager. « Vous n’aurez plus qu’à le mettre en route, choisir le type de vibration que vous désirez avant de le bloquer entre la culotte plastique et la couche » m’a indiqué Marc comme si il me parlait d’une recette de cuisine...

En fait, il n’a rien à faire de nos petits secrets et de nos envies, il ne juge rien, pour lui tout semble naturel. Cela surprend au début du séjour !

- Pour le ICE-timer, si vous voulez réellement tester la nuit entière, je vous conseille de mettre les clés dans un grand tupperware sans y bloquer la ficelle qu’il vous faudra, obligatoirement attacher aux menottes. Si vous oubliez ce détail, sans la ficelle vous serez bloqué jusqu’à midi, heure où, si je ne vous ai pas vu, je viendrai voir si tout va bien !

N’ayant pas envie d’être vu entravé en mauvaise posture, je ne risquais pas d’oublier ! ! !

Après son départ, je suis allé me balader à Morata de Jalon puis faire une petite randonnée le long du Jalon. Je suis finalement passé devant la zone d’escalade où j’ai pu voir, MDR une dizaine d’adeptes du bondage en hauteur. Arrivé au gîte, après une bonne douche je suis allé à la piscine pour faire bronzer les fesses après un bon bain. J’avais tellement hâte de tester ce selfbondage, que j’ai mangé de très bonne heure avant de récupérer le ICE-timer dans mon congélateur.

Arrivé au donjon, j’ai constaté qu’il avait déposé 3 couches comme indiqué, une seule suffirait mais bon, en avoir 2 d’avance au cas où n’est finalement pas une mauvaise idée. Après m’être mi nu, j’ai donc un peu galéré pour mettre ma couche car je n’ai pas l’habitude d’entre mettre. Suite j’ai enfilé rapidement la culotte plastique et la grenouillère.

Excité comme un malade, j’ai du me dévêtir en partie pour me mettre un petit plug dans les fesses. N’ayant jamais testé une nuit entière, l’idée me séduisait de ne pas avoir la possibilité de le retirer quand je n’en aurai plus envie. Enfin prêt et « comblé » j’ai bien vérifié que la ficelle du ICE-timer était reliée aux menottes avant de m’allonger sur le lit avec la cagoule BDSM et un bâillon bouche ouverte.

Après m’être entravé « le bas », chevilles et cuisses, j’ai mis le bâillon puis le vibromasseur Magic wand en marche entre la culotte plastique et ma couche. Hummmm ! J’ai refermé la grenouillère avant d’enfiler la cagoule que j’ai bien serrée. Je ne vous cache pas que dans la couche, ma nouille avait sûrement l’air d’un concombre révolté ! A l’aveugle j’ai entravé mon poignet gauche avant de me menotter, comme Marc me l’avait indiqué.

J’ai à peine entendu les clics, clics mais ce moment cela mon destin de coquin un peu fou. Le premier réflexe fut de tester les entraves. Effectivement elle résistaient bien et mes mouvement étaient très limités. Sauf que, c’est toujours dans ces moments là que votre nez ou une autre partie de votre anatomie vous gratte. Passons sur ce désagrément.

Le vibro s’est arrêté alors que l’excitation grandissait. GRRR. Dans ma tête, une Maîtresse très sévère avait décidé de me punir et de m’humilier en m’obligeant à me faire dessus. En plus, cette sadique m’avait mis un plug dans les fesses qui, faut l’avouer est bien bon, quand on les bouge.

Quand le vribro a redémarré, j’ai eu peur ! Cet instant de surprise m’a fait toucher du doigt ma vulnérabilité et dépendance à « ma Maîtresse » imaginaire. Agiter ses fesses pendant que le vibro titille votre devant est bien bon, sauf qu’avec les entraves, les mouvements son très limités. Alors que je commençais à monter dans les tours, cet enfoiré c’est arrêté comme si il voulait jouer de ma frustration. J’ai du attendre 15 minutes avant de pouvoir, à nouveau, me tortiller des fesses. Oui mais 15 minutes sans sollicitation manuelle, cela ne vous conduit pas à l’orgasme.

Frustrant ! Horriblement frustrant ! Je voulais jouer et il ne m’étais plus possible de quitter la table de jeu, ou plutôt, le lit de la chambre LOVE devenu un peu comme la roue de l’inquisition sans les horribles douleurs. Enfin, ça, c’est ce que je pensais....

En effet, si le bâillon bouche ouverte est sécurisant pour respirer et en cas de vomissement ou quinte de toux, il est réellement impossible de le recracher. Cette saloperie est « fidèle », et, au bout d’un moment fait mal aux muscles de la mâchoire. Ça, je l’ai découvert au milieu de la nuit, du moins je pense car, quand j’ai tiré sur la ficelle pour récupérer les clés des menottes, le glaçon m’a semblé encore bien lourd.

Ensuite ? Ensuite l’alternance des vibrations du vibro vous permet de commencer à vous endormir avant de vous réveiller. En grand sadique, Marc ne m’avait pas prévenu ou demandé combien de temps je voulais « vibrer ». N’étant pas avare en électricité, cet enfoiré n’avait pas mis de coupure, j’ai vibré 15 minutes toutes les 15 minutes jusqu’au lendemain !

A cela se rajoute que, si je peux sans souci tenir toute la nuit sans aller aux toilettes, avec le magic wand massager quasiment sur la vessie, il est difficile de résister. Malgré une lutte acharnée contre la révolte de « Madame Vessie Capricieuse », je n’ai pas eu d’autre choix que de m’abandonner « un peu ». Un peu c’est ce que l’on pense car, quand on a commencé à soulager la vessie rebelle, elle refuse de s’arrêter. Si c’est très gênant, cela n’est pas si désagréable que ça.... pendant les vibrations. Bon, heureusement que les protections « boivent », absorbent, pardon car passer la nuit trempé ne m’aurait pas amusé.

Si la nuit fut finalement infernale à cause du bâillon qui donnent des douleurs (qui durent le lendemain matin quand les mâchoires se remettent en marche) ce selfbondage a généré dans ma tête un cauchemar puis des rêves érotiques de folie. En effet, si il est impossible de dormir avec le vibro qui vous réveille toutes les 15 minutes, vous finissez par somnoler pendant les coupures.

Les sensations du matin sont originales et furent gênantes pour le grand timide que je suis ! Je vous explique ma honte. Le glaçon m’avait rendu les clés et donc permis de me libérer. Pour aller de la chambre LOVE au gîte, il faut passer devant la piscine. J’ai fait ce déplacement avec le plug qui « poussait » la couche, pendante entre les jambes dans la culotte en plastique, puis la grenouillère.

ET LA, je me suis trouvé nez à nez avec Marc venu nettoyer la piscine ! Autant dire que j’ai faillit pisser de honte et expulser le plug. Par chance, il m’a juste salué et n’a pas cherché à discuter, sûrement que ma tête de déterré ne l’a pas motivé à entreprendre une discussion.

Après m’être enfermé dans mon gîte, j’ai enfin pu me libérer de tout ce que je portais sur moi et aller prendre une douche salutaire. Une grâce mâtiné c’est imposée à moi après un petit « self service ».

Fin

Si Marc existe réellement
Si le gîte fétichistes existe réellement
Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes
Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes

https://gitefetichistes.com/

La visite virtuelle des zones fétichistes est ICI sur youtube